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Organisme représenté | Représentant | Depuis |
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Entité | Responsable | Depuis |
Conseiller Technique 1 | Denis ASUAGBOR OBINCHUNG | |
Conseiller Technique 2 | Bénoit YANKAM | |
Special Assistant | Amédée MVOGO | |
Conseiller à la Sécurité | ||
Dir. Juridique & des Marchés | Mme Pauline BETANGANE | |
Contrôleur de gestion | Samuel BANINI II | |
Division de la Communication | Gabriel MBARGA MBARGA | |
Division Organisation & Systèmes d'information | René NGANHA | |
Division Audit | Jean NDENGUE | |
Division Etudes & Projets | David DONGMO | |
Division des Ports secondaires | Jean KOUAMOU | |
Cellule des Engagements | ||
Directions opérationnelles | ||
Dir. de l'Administration Générale | BA ABDOULAYE | |
Dir Opérations Commerciales | Albert NGUEDIA | |
Dir. Financière | Joseph NDI | |
Dir. des Accès | Henry NJALLA QUAN | |
Dir. de l'Aménagement portuaire | Jean Marcel DAYAS MOUNOUME | |
Dir. de la Logistique | ||
Représentant à Yaoundé | Lucas DJOUONANG |
Réunis à Dakar au Sénégal en janvier 1994, les chefs d'état de la zone franc ont accepté de dévaluer, pour la première fois depuis sa création, le franc Cfa. La parité de cette monnaie par rapport au franc français a été divisée par 2 : le franc français vaudra désormais 100 francs Cfa au lieu de 50.
Forte incidence du changement de parité sur l'accroissement du volume des dettes à long terme qui passent de 13 727 millions à 31 221 millions de F Cfa.
Forte incidence de la dévaluation sur les exportations qui progressent. A l'exemple du bois qui enregistre un bond de 318.000 tonnes par rapport à 1993.
Mais la dévaluation du franc Cfa n'explique pas, seule, cet extraordinaire bond du trafic du bois : le Port de Douala a bénéficié de l'augmentation du volume du bois centrafricain ainsi que du captage d'une partie des grumes du Congo.
L'objectif est d'apporter plus d'exhaustivité à la facturation et à la vérité des prix, grâce à la maîtrise du volume et de la nature des charges de l'entreprise.
Pour favoriser les échanges internationaux et réduire le coût des transports maritimes, la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International ont fait pression sur les pays en voie de développement, en particulier sur les États africains, afin de remettre en cause les règles de partage de cargaisons (40/40/20 fixant la répartition des droits de trafic, de 40 % à chacun des pays en relation bilatérale, 20 % aux pays tiers) introduite par la CNUCED. La remise en question des règles de la CNUCED a définitivement sonné le glas des armateurs locaux de la côte ouest-africaine.
Le trafic au Port de Douala, qui avait plongé entre 1986 et 1992, a atteint, en 1996, son niveau d'il y a 10 ans, soit 4,2 millions de tonnes. Ce chiffre confirme le regain observé depuis 1992, lorsque la baisse observée jusqu'alors s'est enfin enrayée.
Dans un souci d'amélioration de la compétitivité, l'espace portuaire a été délimité en sous-ensembles appelés Terminaux dont le principe consiste à regrouper au même endroit, tous les services auxquels l'opérateur portuaire a recours pour ses opérations commerciales. Ces espèces de Guichets uniques offrent au moins deux avantages : améliorer la sécurité des biens et des personnes et réduire les délais des formalités administratives.
Une augmentation a été opérée en 1994 sur certaines redevances portuaires (marchandises et navires, notamment) de manière à les porter à un niveau compatible avec les charges réelles de l'entreprise qui ont vu leur importance quasiment doublée du fait de la dévaluation du franc Cfa.
Cette association regroupant les membres de la Communauté portuaire a été conçue pour servir de plateforme d'échange et de concertation.
Bénéfice total avant impôts de 823 millions de Fcfa et de 506 millions de Fcfa après impôts.
Bénéfice diminué par un déficit hors exploitation de 509 millions de Fcfa dû à la réévaluation de la dette suite à la dévaluation du Franc Cfa.
Pour la première fois depuis 5 ans, le total du bilan est en hausse : 94 482 millions de Fcfa contre 71 190 millions en 1993, soit un accroissement de 32,72%.
RCA : Une hausse de plus de 200% en 1994 dans l'exportation du bois entraine une augmentation substantielle du trafic total vers ce pays (78993 t en 1993 contre 123996 en 1994)
TCHAD : Forte hausse du trafic entre 1993 et 1994 (89073 contre 109944). Elle est portée par les produits alimentaires, huiles et boissons, ainsi que par les textiles.
L'ancien et le nouveau logo de l'Office National des Ports du Cameroun
Projet |
Date de début |
Modernisation du Terminal à conteneurs (mise en place d'équipements de manutention plus performants) | |
Restructuration du Port de Douala (redéfinition des conditions optimales de son exploitation et de son développement) | |
Restructuration du Terminal à bois | |
Réhabilitation des ports secondaires (Kribi : ouverture et amélioration de la passe Kienké; Garoua : rénovation des hangars, dragage des pieds de quai) | |
Aménagement du chenal du Wouri (les campagnes de sondages géotechniques et de reconnaissance ont été effectuées; les études de trafic et de la flotte ainsi que celle de détermination de la cote optimale ont été menées, actualisant certains points de l'étude des accès menée en 1987). | |
Redémarrage de l'étude du Port en eau profonde de Grand-Batanga à Kribi. | |
Acquisition d'une drague suceuse autopropulsée (Ce projet s'inscrit dans le cadre de l'Amélioration des accès au Port de Douala. Il est retardé par la faillite du Chantier Naval Rosslauer, qui avait remporté l'appel d'offres et le désistement de son repreneur, Petram-Ronner). | 1989 |
Mise en place d'un système de télécommunication et de sécurité aux navires | |
Acquisition des engins de servitude genre remorqueurs et pilotines | |
Assainissement du compte "Clients". L'ONPC entend désormais faire un plus large usage du privilège du Trésor que le législateur lui a accordé |
Projet |
Date de début |
Acquisition de deux remorqueurs de haute mer pour renforcer le parc des engins flottants de l'ONPC et répondre aux sollicitations de la Sonara, au port de Limbé/Tiko. | |
Système d'Information Portuaire (SIP). Ce projet a pour but d'améliorer la fiabilité et l'efficacité de la gestion du transit portuaire par l'informatisation de la gestion des escales de navires et permettre une meilleure intégration des différents intervenants de la plateforme portuaire de Douala. | |
Réhabilitation des chaussées du domaine portuaire. Avec la contribution du Labogénie, une étude technique du renforcement des chaussées a été menée. | 1995 |
Acquisition de portiques de quai et de chariots cavaliers | |
LOCALISATION |
DESCRIPTION |
OBSERVATIONS | |
Rive gauche (Douala) |
Superficie : 1000 ha dont 400 utilisés pour le moment. |
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Le chenal a une profondeur de 5,8m. | |||
Quais |
11 quais dont le tablier est de 2 mètres et la longueur totale est de 1700 mètres.
- 4 quais de 550 m de long et 8 à 10 m de profondeur, faits en pieux en acier forgé, achevés en 1964 - des installations redimensionnées pour la manipulation et le chargement des billes de bois. - Une station d'amarrage des pétroliers |
Seul un seul de ces quais est spécialisé : c'est le quai Alucam. Il est dédié à l'importation de la bauxite et à l'exportation des lingots d'aluminium. Le même quai est utilisé par les pétroliers qui déversent leurs produits dans un pipeline menant à des réservoirs de stockage. La gestion du parc à bois qui a été redimensionné, a été confiée à la toute nouvelle SEPBC (Société d'exploitation des Parcs à bois du Cameroun) dont l'ONPC est l'un des actionnaires. |
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Hangars de transit |
15 hangars dont les dimensions moyennes sont de 40x100mx6m et dont la capacité totale est de 55.000 m2, suffisantes pour un trafic annuel de 2 millions de tonnes. Ces hangars sont ouverts des deux côtés et ont un accès sur la voie ferrée et sur le réseau routier. |
La trafic prévisionnel escompté en 1975 est de 1,5 millions de T. largement suffisant donc! | |
Rive droite (Bonabéri) | Une importante superficie du port a récemment été allouée à la future zone industrielle, laissant une bande côtière de 90m de large pour les installations portuaires. | ||
Quais |
- 1 quai de 140 m avec profondeur de 7,5 pour la banane et le gaz butane
- 1 nouveau quai industriel 200 m et 8,5 m de profondeur pour le clinker |
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Garoua |
1 quai de 256 m Capacité de stockage des marchandises de 12 ha Capacité de stockage des produits pétroliers de 22 m3 Hangar de 4.800 m2 |
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Kribi |
Quai de 250 m Capacité du parc à bois 7.500 m2 Aires de stockage 2.500 m2 Hangars de 8.500 m2 |
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Victoria - Tiko | Victoria |
Quai de 80m, Hangars et magasins de 3.500 m2 Aire de stockage de 10.000 m2 |
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Tiko |
Quai principal de 135 m avec une profondeur de 7m Quai secondaire de 120 m Hangars de transit d'une capacité de 3.500 m2 |
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Equipements |
A- L'ONPC est propriétaire d'équipements permettant : - la manutention des grumes - le pilotage (parc de 3 pilotines) - le remorquage (parc de 6 remorqueurs) - 2 vedettes hydrographiques - le lamanage (parc de 2 vedettes) - le balisage (1 baliseur, le Nyong) - 2 chalands - le dragage du chenal (une drague, le Youpwé, acquise en 1978) - la réparation des navires (un dock flottant de 1200 tonnes construit en 1904 + 8 ateliers de réparation, garage et magasins sur 21 ha et une cale de 100 tonnes). B - Les entreprises de manutention disposent également d'outils en bon état et en quantité suffisante. |
Domaine | Objet | 1997 | 1996 | 1995 | 1994 | 1993 |
RH |
Effectif total de l'ONPC |
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Embauches | ||||||
Départs à la retraite | ||||||
Décès | ||||||
FINANCES /COMPTA | Bénéfice av Impôts | 823 millions | ||||
Total de bilan | 94,4 Mds | 72Mds | ||||
Dettes à long terme | 31,2 Mds | 13,2 Mds | ||||
Dettes à court terme | 14,6 Mds | 8,7 Mds | ||||
Produits | 17,1 Mds | 13,15 Mds | ||||
Redevances marchandises | 4,08 Mds | 4,0 Mds | ||||
Redevances navires | 9,18 Mds | 4,81 Mds | ||||
Port de pêche & instll frigoriphiques | 142 millions | 124 | ||||
Location du domaine portuaire | 2,4 Mds | 2,9 Mds | ||||
Location de matériel & engins | 237 millions | 197 millions | ||||
TRAFIC UDEAC (en T) |
Total | 268741 | ||||
Tchad | 123396 | 78993 | ||||
RCA | 109994 | 89073 | ||||
Congo | 34751 | |||||
PORTS SECONDAIRES (en T) |
Total | |||||
Garoua | 0 | 9.500 | ||||
Kribi | 120.234 | 119.218 | ||||
Limbé/Tiko | 1.277 | 841 | ||||
Inscrite en 1994 dans la liste des entreprises à privatiser, CAMSHIP, la Cameroon Shipping Lines a été définitivement cédée à des opérateurs privés (l'Etat ne conservant que 10% des parts et la SNI 36%). Monsieur René MBAYEN (photo), ancien PDG de CAMSHIP, reste aux commandes de la nouvelle entreprise.
Un ensemble de lois et décrets ont été pour organiser les professions maritimes et para-maritimes en République du Cameroun. Ce sont :
Pour en savoir plus, Juridis Périodique - Numéro : 32